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La mission du CHU Dr-Georges-L-Dumont, la formation en santé en français et la santé des patient.e.s sont en danger.

Dieppe. Le 28 juin 2023— Égalité santé en français N.-B. (Égalité Santé) appuie sans équivoque la position prise par le Conseil des médecins et dentistes (CMD) du CHU Dr-Georges-L-Dumont par rapport au plan de modernisation des services de laboratoires du Nouveau-Brunswick.

Ce plan proposé par le ministre de la Santé dans le cadre de la première année du Plan de santé « Stabilisation des soins de santé : Un appel à l’action urgent » met en danger la vie et la santé des patient.e.s, et la formation en santé en français et la mission même du Centre Hospitalier Universitaire.

Les 280 membres du Conseil des médecins et dentistes du CHU Dr-Georges-L-Dumont ont unanimement dénoncé ce plan qui a été préparé sans tenir compte des préoccupations des médecins cliniciens du CHU par la firme de consultants Deloitte de Toronto.

Égalité Santé questionne la position de la direction générale et du fiduciaire du réseau Vitalité dans ce dossier. Ont-ils été consultés? Ont-ils cherché l’opinion des médecins visés par ce plan? Ont-ils donné leur accord à ce plan? Comment ont-ils pu accepter que le Centre Hospitalier Universitaire Dr-Georges-L-Dumont soit amputé de ses services de laboratoire alors qu’ils devraient se battre pour améliorer ces services au sein du réseau ? Comment peuvent-ils prétendre défendre les intérêts du réseau alors qu’ils se taisent même si le centre de référence ne pourra plus exercer ce rôle?

Moderniser les services de laboratoire ne veut pas dire couper des services ou ralentir les diagnostiques mais « Organiser d’une manière conforme aux besoins, aux moyens modernes ». Ce plan fait tout le contraire! Il ne répond pas aux besoins des hôpitaux et encore moins des patients et patientes!

Égalité Santé félicite et appuie les médecins et dentistes du CHU Dr-Georges-L-Dumont de se tenir debout et de dénoncer ce Plan qui est inacceptable et indéfendable!

La mise sous tutelle de Vitalité

Le 15 juillet 2022, le Premier ministre Higgs, sans aucune justification, mettait en tutelle le réseau de santé. Il affirmait qu’il fallait « avoir les bonnes personnes en place pour surmonter la crise actuelle. Il abrogeait le Conseil d’administration (CA) formé de 8 élus et de 7 nommés et mettait ainsi fin au mandat de ces 15 personnes. De plus, il nommait un fiduciaire pour remplacer le CA en la personne de Gérald Richard, ancien sous-ministre de la Santé et par suite de sa retraite responsable de la mise en place du Plan de santé.

Plusieurs individus et groupes ont dénoncé ce geste du Premier ministre et une action juridique a, même, été entreprise sous prétexte que le PM a brimé les droits constitutionnels de la communauté linguistique francophone et acadienne (CLFA).

Six mois (6) plus tard, la population est en droit de se demander quels changements ont été effectués, est-ce que les soins aux patients ont été améliorés, est-ce que le réseau est moins en crise?

Depuis 2015, lorsque le réseau fermait des services de soins de santé et des urgences, l’excuse évoquée était toujours le manque de personnel (médecins ou infirmiers-iéres). Dans les derniers, des urgences et des services sont encore fermés pour de courte période ou même de longue période. Le réseau a annoncé quelques nouveaux services dont certains sont  au secteur privé. Le réseau vient d’annoncer des activités de recrutement avec les communautés. Cette action avait été réclamée dans toutes les régions lors de la tournée de consultation de la ministre Shephard!

Ce qui a surtout augmenté, ce sont les postes au niveau de dirigeants et dirigeantes de Vitalité soit de ce que Vitalité nomme « l’Équipe de leadership ». En 2015, alors que tout allait bien dans le réseau, nous avions un PDG et 6 VP. En 2022, nous étions à une PDG et 7 VP.

Dans l’organigramme, le tout a explosé non seulement en nombre mais aussi en catégorie de poste. Nous sommes maintenant rendus à une PDG, 1 PDG adjoint, 4 Vice-Président.e.s, 4  Vice-Président.e.s Principal.e.s et enfin 2 Vice-président.e.s adjoint.e.s.

Les responsables des activités hospitalières qui avaient été nommés suite à la tournée Shephard alors que la demandes pour des directions locales ne font plus partie de cette équipe.

Jamais lors de la tournée de consultation, la population a demandé ou affirmé qu’il manquait de personnes dans les bureaux de Vitalité ou d’Horizon. Au contraire. La population dénonçait le manque de direction au niveau local et affirmait que le réseau ne connaissait pas les besoins en région ou au niveau local. Comme toute dépense doit être approuvée par le ministère, nous devons faire le constat que le ministère vient de prendre non seulement le contrôle des régies mais il en prend le contrôle total.

C’est encore un autre exemple du non-respect du droit des communautés d’avoir des institutions de santé distinctes et surtout de les gérer et de les gouverner. C’est vrai que le PM n’est pas fort sur le respect des droits!

Égalité Santé appuie la FJFNB et le programme Le Maillon

Dieppe, le 6 novembre 2020—Égalité santé en français N.-B. Inc. (Égalité Santé) appuie la demande de la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick (FJFNB) pour que le gouvernement provincial revienne sur sa décision de couper les fonds du programme Le Maillon.

Égalité Santé ne comprend pas que le gouvernement coupe ainsi un financement de quelques 40 000,00$ pour un programme de santé mentale alors que nous savons tous et toutes que la santé mentale est un enjeu pour notre jeunesse depuis fort longtemps et que nous vivons actuellement une période de pandémie. Ce programme est encore plus essentiel actuellement pour le bien-être et la bonne santé mentale de tous et de toutes et plus particulièrement de notre jeunesse.

Les propositions assimilantes de Gilles Lanteigne

Dieppe, le 5 novembre 2020— Les récentes déclarations de l’ancien directeur général du réseau de santé Vitalité, Gilles Lanteigne, dans les journaux de la famille Irving, ont de quoi nous surprendre de déclarer Jacques Verge, porte-parole d’Égalité santé en français (Égalité Santé).

Gilles Lanteigne avait, comme directeur général du réseau, la mission de voir au développement du réseau de santé francophone mais tout ce que nous avons vu durant son mandat de cinq ans, ce sont des fermetures de services de soins de santé comme l’oncologie à Grand-Sault et St-Quentin ou des interruptions de services comme l’obstétrique à Bathurst ou la pédiatrie à Campbellton. Il a même fermé un hôpital dans une période de pandémie et a nié les problèmes du Centre Restigouche jusqu’à la sortie du rapport de l’Ombud. Nous avons vu des débordements aux urgences et à chaque occasion, le problème qu’il identifiait était celui du manque de personnel. Au cours des cinq dernières années, Gilles Lanteigne n’a pas proposé ou trouvé des solutions à ces problèmes.

Maintenant à la retraite, il propose de partager des services avec la régie Horizon. En aucun temps, ce sujet ne fut discuté lors des réunions de Vitalité. Quelles sont ses véritables intentions? Est-ce qu’il se cherche un emploi sachant que la ministre de la Santé veut une réforme dans les six prochains mois? Veut-il s’associer à Kris Austin pour nous assimiler?

Au lieu de voir le réseau Vitalité progresser comme institution de notre communauté francophone et acadienne, nous avons vu un recul de notre réseau et les propositions de Lanteigne nous dirigent directement vers une gestion bilingue donc anglaise du système de santé… vers une seule régie de santé!

Égalité Santé est de plus en plus convaincu qu’il faut nommer comme direction générale du réseau une personne qui croit dans notre réseau comme une institution essentielle au développement et à l’épanouissement de notre communauté linguistique. Cette personne devra donner un coup de barre dans les orientations de notre réseau, décentraliser la prise de décision au niveau local, redonner le droit de parole aux professionnels de la santé et surtout voir au développement de ce réseau de santé.

Égalité Santé soutient que la communauté francophone et acadienne a droit à un réseau de santé distinct de celui de la communauté anglophone, qu’elle a droit de le gérer et de le gouverner et que ce réseau doit être doté des mêmes services de soins de santé que celui de la communauté anglophone.

Jamais un directeur général et une présidente n’auront autant nui au développement de notre réseau de santé que Gilles Lanteigne et Michelyne Paulin et, de ce fait, nui au développement d’une institution essentielle pour notre communauté, de conclure monsieur Verge.

Les défis de la nouvelle direction de Vitalité

Les défis de la nouvelle direction de Vitalité, peu importe qui sera nommé par la ministre de la Santé, seront nombreux. Le premier sera celui de reprendre de la crédibilité auprès des communautés francophones et plus particulière-ment des communautés rurales. Le lien de confiance entre celles-ci a été coupé de façon profonde par les décisions de Gilles Lanteigne. Qu’il suffise de parler des coupures de services d’oncologie à Grand-Sault et St-Quentin ou encore des interruptions de plusieurs services à Campbellton ou de l’obstétrique à Bathurst.

La nouvelle direction devra aussi relever comme deuxième défi celui de la transparence mais pas seulement celle d’un document sur la transparence mais d’une véritable transparence. Comment y arriver? Le premier élément est celui de véritables discussions sur les enjeux au sein du Conseil d’administration (CA) lors de réunions publiques. Le premier geste dans ce sens que devrait faire la nouvelle direction est de rendre publiques les deux résolutions adoptées à huis clos, selon la présidente et Gilles Lanteigne, soit celle de l’adoption par le CA du plan qui comportait la fermeture de trois (3) urgences du réseau en février 2020 et celle par laquelle le CA recommandait la fin des élections au sein de la régie et la formation d’un CA constitué de personnes nommées.

Le troisième défi sera celui de respecter la Loi et de faire un véritable rapport sur sa gestion et sa gouvernance lors de chaque réunion du CA. Mettre fin à des services d’oncologie quelques jours après une réunion du CA, ce n’est pas respecter ses obligations en vertu de la Loi, c’est inacceptable et c’est diminuer le rôle du CA à celui d’approuver aveuglément les décisions de la direction générale.

La nouvelle direction devra rapidement mettre fin au climat toxique qui existe dans nos institutions de santé. Il ou elle devra consulter et écouter les profes-sionnels de la santé et surtout ne pas les bâillonner comme ce fut le cas dans la dernière année. Les professionnels de la santé dénoncent la centralisation à outrance mise en place par le duo Lanteigne-Paulin. La semaine dernière plus de 700 médecins ont réclamé une décentralisation du système de santé au Québec. Que demandent-t-ils? « Les médecins réclament notamment la nomination d’un administrateur local dans chaque hôpital ». Qu’avons-nous entendu de la part de nos communautés? Avoir une direction locale!

Le recrutement du personnel sera un autre défi qui peut être comblé par le changement de climat dans nos institutions, la fin des coupures de services et l’ouverture de postes à temps plein.

Si la nouvelle direction décide de continuer dans la lignée de Gilles Lan-teigne, son mandat sera désastreux, en particulier, pour la communauté aca-dienne et francophone puisque les réformes à venir par le gouvernement Higgs ne seront pas favorables au développement de nos communautés!

La vérificatrice générale confirme nos affirmations

Le dernier rapport de la vérificatrice générale rendu public le 20 octobre dernier confirme ce qu’Égalité santé en français (Égalité Santé) affirmait depuis plusieurs années au sujet de l’entente entre la province du Nouveau-Brunswick et Medavie. Égalité Santé avait même demandé une injonction pour empêcher la privatisation de la gestion de l’Extra-mural en décembre 2017. L’injonction avait été refusée puisque le ministre de la Santé de l’époque, Benoit Bourque, avait amendé la loi pour se donner les pouvoirs.

Égalité Santé a dénoncé à maintes reprises depuis 2010, les coûts exorbitants d’Ambulance NB et le modèle de gouvernance de ANB/EM. Comme nous, la vérificatrice générale questionne la formation du Conseil d’administration formé en grande majorité de fonctionnaires du ministère de la Santé, soit celui qui paie pour le service et qui, par le Conseil d’administration d’ANB/EM, est celui qui le gère.

La vérificatrice a remis en question les critères de bonification du rendement d’ANB, des dépenses sans justification comme celles pour des postes non comblés et l’octroi de la moitié des excédents budgétaires annuels.

Égalité Santé est préoccupé par les réponses du ministère aux recommandations de la vérificatrice générale contenues dans ce rapport. Le ministère semble banaliser les recommandations. Les lacunes présentées dans ce rapport sont les conséquences du travail du ministère et des différents gouvernements en place depuis 2007. La vérificatrice générale a évalué la structure et les contrats en tant que partie indépendante et elle en a fait des constats clairs et nous propose de grandes améliorations que le ministère devrait s’empresser de mettre en place.

Bien que la vérificatrice générale n’ait pas fait l’étude de la composante Extra-Mural en place depuis le premier janvier 2018, il ne serait pas surprenant que les constats soient les mêmes.

Il est clair que la meilleure solution serait de mettre fin à ce contrat et d’intégrer ces deux services aux régies de santé. Il ne faut pas oublier que le contrat de 2017 a été signé par le gouvernement libéral et confirmé par le gouvernement Higgs-Austin. Le gouvernement Higgs aura-t-il le courage d’y mettre fin, ce qu’il devrait faire pour économiser les coûts de la gestion privée et maintenir des services existants?

Un retour en classe sécuritaire

Dieppe, le 7 septembre 2020— À la veille de ce retour en classe inhabituel Égalité Santé en français (Égalité Santé) désire encourager le personnel de nos écoles et les élèves à suivre les directives de la Santé publique afin de se protéger et de protéger les autres dans cette période de pandémie.

Nous vivons une période hors de l’ordinaire et nous devons tous et toutes être solidaires afin de pouvoir nous en sortir individuellement et collectivement.

L’éducation et la santé sont deux composantes essentielles pour le développement de notre jeunesse et celui de notre communauté.

Égalité Santé se joint à l’AEFNB et aux autres associations francophones dans cet appel à la solidarité. Prenons soin de nous et des autres durant cette période difficile pour tous et toutes.

Bonne rentrée scolaire et surtout bonne année scolaire.

Une nouvelle direction, ça presse

Dieppe, le 3 septembre 2020—L’annonce récente de la démission de deux médecins dans le Restigouche qui s’ajoute à deux autres démissions plus tôt cette année, confirme la mauvaise gestion et gouvernance mises en place au réseau de santé Vitalité depuis l’arrivée du directeur général actuel, Gilles Lanteigne.

Égalité santé en français (Égalité Santé) a dénoncé à de nombreuses occasions cette centralisation à outrance jointe à l’abolition des directions d’hôpital, des directions médicales et des soins infirmiers locales. Cette situation a été tolérée par les gouvernements de Brian Gallant et de Blaine Higgs.

Une nouvelle direction générale doit être nommée immédiatement, selon Égalité Santé, pour redonner la gestion locale dans le réseau et une gestion et gouvernance plus transparentes avant que l’hémorragie ne devienne incontrôlable.

Le climat toxique mis en place par le duo Lanteigne-Paulin avec la complicité de l’équipe des vice-présidents nuit au réseau mais, surtout, nuit à la livraison des soins de santé et donc aux patients et patientes du réseau. L’équipe médicale est à bout de souffle et ne peut plus subir ce genre de gestion des ressources humaines.

Égalité Santé a remis aux deux derniers ministres de la santé un mémoire proposant la mise en place d’une gestion et d’une gouvernance locales ainsi que la mise à jour des soins de santé en région. Nous continuons à nous interroger sur le plan qui sera mis en place pour l’avenir de nos hôpitaux par le prochain gouvernement élu. Les citoyens et citoyennes francophones devraient pouvoir exercer leur droit de vote en toute connaissance.

Des nominations politiques en santé, mais une illégale

Dieppe, le 27 juillet 2020—Les nominations de membres au sein du Conseil d’administration de la régie de santé sont toujours politiques qu’elles soient en début de mandat ou pour remplacer des membres démissionnaires. La récente nomination de Monica L. Barley est la preuve de ce qui nous attend si le souhait de Gilles Lanteigne et Michelyne Paulin d’avoir un Conseil d’administration (CA) composé uniquement de membres nommés était exaucé. Les nominations de membres au CA ont toujours été politiques qu’elles aient été faites par les conservateurs ou les libéraux!

La récente nomination d’un résident de Dieppe pour remplacer une membre démissionnaire élue pour la Péninsule Acadienne dépasse non seulement les bornes mais elle est illégale comme l’indiquait l’ancien procureur général de la province et professeur de droit, Me Serge Rousselle, sur sa page Facebook.

Le règlement 2012-17 en vertu de la Loi sur les régies régionales de la santé stipule que la Péninsule Acadienne (PA) a droit à une représentation et que ce représentant ou cette représentante doit résider dans la PA depuis au moins six (6) mois. Le Conseil d’administration du réseau de santé Vitalité est donc illégalement constitué actuellement!

Comment le ministre a-t-il pu être aussi mal conseillé par le duo Lanteigne-Paulin puisque ce sont ces derniers qui ont fait les recommandations pour remplacer les démissionnaires? Le ministre Flemming doit annuler cette nomination et redonner à la Péninsule Acadienne la représentativité à laquelle elle a droit au sein du CA de Vitalité.

De plus, le ministre de la santé doit s’assurer que l’emploi de Gilles Lanteigne prenne fin le 10 août et changer la présidence du CA de Vitalité comme il l’a fait pour l’autre régie de santé.

Nominations pour remplacer trois membres élus du Conseil d’administration de Vitalité

Dieppe le 20 juillet 2020 — Égalité Santé met en doute les affirmations du directeur général du réseau de santé Vitalité suite aux nominations de trois (3) nouveaux membres au sein du Conseil d’administration. Gilles Lanteigne affirmait que le réseau avait regardé « les zones où il y avait des manques». Les trois (3) membres démissionnaires provenaient de la région de Bathurst, la Péninsule acadienne et Moncton -Riverview. Les nouveaux membres viennent de Bathurst, Dieppe et Moncton-Riverview. Il est évident que la zone où il y a un manque, c’est la Péninsule Acadienne suite à ces nominations. Est-ce un signe avant-coureur de ce qui s’en vient pour cette région?

Il est encore plus surprenant d’apprendre que les membres élus ont voté pour faire disparaître leurs postes au sein du Conseil d’administration. Que ce vote ait été pris lors d’une rencontre à huis clos dans un ensemble de résolutions adoptées en bloc est une autre preuve de la manipulation du directeur général et de la présidente pour faire voter des résolutions qui vont à l’encontre de la Loi actuelle et du rôle et du mandat des membres élus. C’est également à l’encontre des intérêts de la communauté francophone.

Égalité Santé souhaite aussi un nouveau modèle de gouvernance soit celui où tous les membres du Conseil seront élus par la population. Ce Conseil élu choisirait sa présidence et ferait l’embauche de sa direction générale qui serait son employé. Égalité Santé souhaite aussi un Conseil d’administration transparent qui a de véritables pouvoirs et qui prend ses décisions lors de rencontres publiques et non à huis clos comme ce fut le cas sous le règne de Gilles Lanteigne-Michelyne Paulin.

Trop de gens ont perdu confiance dans le Conseil d’administration et la direction générale actuels et il faut un changement de cap rapide qui commencera avec le départ de la direction générale qui tarde à venir. Le réseau Vitalité n’est pas un club privé. Il est redevable à la population et doit être géré par la communauté francophone.