Il sera interdit de fumer ou de vapoter sur tous les terrains et dans tous les établissements appartement au Réseau de santé Vitalité, dès le 1er janvier 2016.
Des maires du comté de Kent au Nouveau-Brunswick s’inquiètent pour l’avenir de l’Hôpital Stella-Maris, à Saint-Anne-de-Kent.
Deux jours pour s’informer sur le cancer du sein, c’est ce que propose le Comité provincial des survivantes à cette maladie.
Le Nouveau-Brunswick est la province qui compte la plus forte proportion de personnes âgées de 65 ans et plus, selon les plus récentes données de Statistique Canada.
Les fumeurs qui s’exilent à une dizaine de mètres des portes des hôpitaux devront bientôt devoir quitter le terrain entièrement. Le réseau de santé Vitalité se penche sur l’uniformisation des politiques d’environnement sans fumée de tous ses établissements de soin de santé, a appris l’Acadie Nouvelle.
Privatiser la préparation des repas et le nettoyage dans les hôpitaux du Nouveau-Brunswick diminuerait la qualité de ces services, soutiennent les syndiqués.
Le temps d’attente pour une chirurgie au Nouveau-Brunswick varie d’une région à l’autre. C’est le cas à Moncton par exemple. Selon les médecins de l’Hôpital de Moncton, la solution est toute simple, il faut plus de temps en salle d’opération.
Ces dernières semaines, plusieurs intervenants ont publiquement fait part de leurs préoccupations quant à l’avenir des soins de santé offerts dans certains établissements du Réseau de santé Vitalité et à de possibles réductions de services.
Dieppe, 31 août 2015 – Égalité Santé en Français (ÉSF) se réjouit de la position prise par les médecins de l’Hôpital de Grand-Sault par rapport à la possibilité de fermer les urgences de certains hôpitaux de minuit à 8 heures du matin, telle qu’avancée par le président-directeur général par intérim du Réseau Vitalité Jean Castonguay en juin dernier.
Selon le Dr Hubert Dupuis, président d’ÉSF, il est impensable que le gouvernement évoque même la possibilité de mettre en danger la survie de nombreuses personnes au Nouveau-Brunswick en réduisant les heures d’ouvertures des urgences. Le gouvernement a le devoir, et l’obligation morale, de veiller à la sécurité, la santé et la survie de sa population et des personnes qui transigent dans la province. « Songer à fermer une urgence même durant quelques heures est injustifiable », déclare Dr Dupuis.
Réduire les activités d’urgences dans la province signifie également diminuer les heures de travail du personnel, voire éliminer des emplois clés contribuant à l’économie du Nouveau-Brunswick. Depuis des décennies, le gouvernement, qu’il soit libéral ou conservateur, investit des millions pour créer des emplois. Éliminer des postes liés au bon fonctionnement des urgences viendrait à l’encontre des efforts déployés jusqu’à maintenant pour soutenir l’économie de la province.
ÉSF met en question le droit du ministère et du ministre de la santé de s’interroger sur ce sujet. Pour ÉSF, la gestion des institutions de santé de la communauté francophone du Nouveau-Brunswick est un droit constitutionnel reconnu dans la Charte canadienne des droits et libertés. C’est au Conseil d’administration du Réseau Vitalité de gérer ses institutions. Celui-ci s’est déjà prononcé contre la fermeture des urgences et la réduction des services dans les hôpitaux francophones en milieu rural.
Dr Dupuis ajoute que cette question est sur la table de discussion depuis le renvoi du PDG Rino Volpé en novembre 2014 et surtout, depuis l’intérim de monsieur Jean Castonguay. « Si le gouvernement veut épargner, qu’il coupe les contrats avec les firmes comptables comme Raymond Chabot Grant Thorton qui ne connaissent rien en santé. Les gens ne sont pas numéros ! », conclut-il.
Le Réseau de santé trans du Nouveau-Brunswick vient d’obtenir la confirmation d’une rencontre le 10 septembre avec le ministre de la Santé, Victor Boudreau.