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Égalité Santé en Français s’oppose toujours à la privatisation des soins de santé

Dieppe, le 1er septembre 2017– Égalité Santé en Français (Égalité Santé) est désolé d’apprendre que le Ministre de la Santé a l’intention de procéder immédiatement avec l’intégration de trois services de soins de santé essentiels de sa communauté acadienne et francophone, soit les services extra-mural, Ambulance NB et le service Télé-Soins, et de confier la gestion de ceux-ci à Médavie Croix Bleue, une entreprise privée.

L’intégration des services mentionnés ci-dessus est anticonstitutionnelle et constitue de l’ingérence de la part du Ministre de la Santé. En procédant avec la privatisation, il s’agit d’une atteinte directe et flagrante aux droits de la communauté linguistique francophone et acadienne à la gestion de ses institutions de soins de santé.

« D’abord, Médavie est une entreprise privée, et réalise des profits qu’elle s’accapare. Elle gère Ambulance Nouveau-Brunswick qui est dispendieux, inefficace et bafoue les droits de la communauté linguistique francophone et acadienne. Ambulance Nouveau-Brunswick offre un service de pauvre qualité pour les francophones et acadiens, ainsi que dans les régions rurales du Nouveau-Brunswick », déclare Dr Hubert Dupuis, Président d’Égalité Santé en Français.

« Malgré le fait qu’Égalité Santé en Français ait avisé le gouvernement de Monsieur Gallant à maintes reprises de ne pas aller de l’avant avec cette privatisation, et en plus qu’Égalité Santé en Français entame une action judiciaire contre le gouvernement du Nouveau-Brunswick pour empêcher celle-ci, M. le Premier Ministre n’écoute pas et va de l’avant avec ses actions pour détruire le réseau de santé Vitalité et ses services de santé francophones», conclut-il.

Égalité Santé en français poursuit le gouvernement du Nouveau-Brunswick

Dieppe, le 14 juin 2017 – Aujourd’hui, une action judiciaire a été entreprise contre le gouvernement du Nouveau-Brunswick, suite à un avis d’action et un avis de question constitutionnelle qui ont été déposés au bureau du procureur général du Nouveau-Brunswick par Égalité Santé en Français (ÉSF) et Monsieur Jacques Verge le 7 avril dernier.

Égalité Santé en français réclame que la communauté linguistique acadienne et francophone ait le droit à la gestion pleine et entière de sa régie de santé. L’organisme s’est engagé à revendiquer la reconnaissance de ces droits devant les tribunaux en vertu de l’article 16.1 de la Charte canadienne des droits et libertés et de la Loi reconnaissant l’égalité des deux communautés linguistiques du Nouveau-Brunswick.

« Ce n’est pas une question de se faire servir dans sa langue, mais d’avoir les institutions de santé francophones pour contrer l’assimilation et permettre la vitalité et le développement de la communauté acadienne et francophone », précise Dr Hubert Dupuis. « Elle doit être maitre chez-elle et mener ses institutions, particulièrement celles de la santé, de façon autonome afin de déterminer son propre avenir », ajoute-t-il.

Égalité Santé en Français s’oppose également aux les projets de privatisation du Ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick, l’honorable Victor Boudreau, et soutient la position unanime du conseil d’administration du Réseau de Santé Vitalité.

L’action judiciaire réclame pour la communauté linguistique acadienne et francophone :

  • La reconnaissance du droit à ses institutions de santé distinctes;
  • La reconnaissance du droit à la gestion pleine et entière de ses institutions de soins de santé et de ses centres hospitaliers;
  • L’égalité de services de soins de santé entre les deux régies et une correction des lacunes au niveau des soins secondaires spécialisés et tertiaires;
  • Que l’ensemble des services hospitaliers non cliniques soit rapatrié sous la Régie de Santé Vitalité, y compris la gestion complète de ces services;
  • Le financement et les ressources pour le développement et la réalisation du Centre hospitalier Universitaire Dumont et les Centres Hospitaliers Affiliés Universitaires;
  • La fin de l’ingérence du ministre de la Santé et du ministère dans la gestion de la régie de santé Vitalité.

Échange entre Égalité Santé en Français et l’opposition officielle aujourd’hui à Fredericton

Dieppe, le 26 avril 2017 – Dans sa série d’initiatives pour sensibiliser les députés et la population devant les effets néfastes de la privatisation de certains services hospitaliers au Nouveau-Brunswick, le président d’Égalité Santé en Français (ÉSF), Dr Hubert Dupuis, rencontrera le Chef de l’opposition officielle, Blaine Higgs, cet après-midi à Fredericton.

La rencontre demandée par Égalité Santé a pour but de présenter au Chef de l’opposition officielle, les revendications et les démarches entreprises par ÉSF depuis ses débuts, pour la reconnaissance des droits de la communauté francophone en santé.

Dans ce premier échange entre les deux hommes, Dr Dupuis exposera au nouveau Chef du Parti progressiste-conservateur, ses grandes inquiétudes face aux projets de privatisation en santé par le gouvernement libéral de Brian Gallant. « Si nous ne faisons rien pour les stopper, les décisions du ministre de la Santé, Victor Boudreau, auront des conséquences désastreuses pour les hôpitaux francophones de la province» réaffirme le président d’ÉSF, Hubert Dupuis.

Cette rencontre permettra aussi à Dr Dupuis de bien expliquer au Chef de l’opposition, le recours aux tribunaux enclenché par ÉSF pour contrecarrer cette privatisation de nombreux services dans les hôpitaux.

En décembre dernier, le président D’ÉSF, Dr Hubert Dupuis, avait rencontré le Chef du Parti vert du Nouveau-Brunswick, David Coon, pour lui manifester ces mêmes inquiétudes. D’autres rencontres du même type sont déjà prévues au cours des prochains jours et des prochaines semaines.

Privatisation dans les hôpitaux francophones: Égalité Santé en français intentera une poursuite contre le gouvernement du Nouveau-Brunswick

Dieppe, le 24 avril 2017 – Un avis d’action et un avis de question constitutionnelle ont été déposés au bureau du procureur général du Nouveau-Brunswick par Égalité Santé en Français (ÉSF) le 7 avril dernier. Ce recours aux tribunaux est enclenché pour réclamer les droits de la communauté francophone et acadienne en santé et ainsi contrecarrer la privatisation de nombreux services dans les hôpitaux. La poursuite sera effective au début de juin prochain. Égalité Santé réclame les droits de la communauté francophone et acadienne en vertu de l’article 16.1 de la Charte canadienne des droits et libertés et de la Loi reconnaissant l’égalité des deux communautés linguistiques du Nouveau-Brunswick. Selon les lois provinciales, tout requérant doit donner un avis de soixante (60) jours dans le cas d’une poursuite contre la province.

« Le gouvernement est en train de détruire les hôpitaux francophones en dépouillant la régie Vitalité de services hospitaliers essentiels » affirme le président d’Égalité Santé, Dr Hubert Dupuis. Au cours des derniers mois, le ministre de la Santé, Victor Boudreau, a multiplié les décisions axées vers la privatisation des services en santé et ce, sans respecter ni la position, ni l’autonomie de la régie Vitalité. « Non seulement ces décisions unilatérales ébranleront les hôpitaux de la régie; elles briment les droits constitutionnels de la communauté francophone et acadienne. » ajoute Dr Dupuis.

Tout comme le réseau Vitalité, Égalité Santé et d’autres organismes acadiens contestent la privatisation de la gestion des services alimentaires, des services d’environnement et des services de préposés au transport des malades dans les établissements du réseau de santé Vitalité. De plus, ÉSF se soucie sérieusement de l’intention du ministre de la santé de vouloir privatiser le programme Extra-Mural.

 

Le président d’Égalité Santé déplore cette ingérence du gouvernement Gallant: « Le gouvernement intervient là où il n’y a pas de problèmes. Le réseau Vitalité n’a jamais affirmé qu’il y avait un problème avec la gestion de ses services hospitaliers. Au contraire, chiffres et statistiques à l’appui, le réseau Vitalité a clairement démontré au ministre de la santé, Victor Boudreau, qu’il fait fausse route en imposant ces mesures. »

Selon les requérants, la communauté francophone et acadienne n’a pas la pleine et entière gestion et gouvernance de ses institutions de santé et contestent vigoureusement les actions prises et annoncées par le ministre de la Santé concernant les soins cliniques et non cliniques et leurs privatisations.

Égalité Santé en français a comparu devant le Comité sénatorial permanent des langues officielles

Dieppe- le 10 avril 2017 —  Égalité Santé en français (ÉSF) a accepté avec entrain de se présenter devant le Comité sénatorial permanent des langues officielles en ce début de semaine  à Ottawa. ÉSF a été appelé par le Sénat à faire connaître ses revendications au niveau de la gouvernance et de la gestion, des services cliniques et non-cliniques dans le système de santé.

« Nous avions bien l’intention de démontrer que même si notre gouvernement provincial a des obligations constitutionnelles, il n’arrive pas à les respecter en santé. » a relevé le président d’Égalité Santé, Dr Hubert Dupuis. Plusieurs lacunes sont là pour le prouver ajoute-t-il.

 

Pour Égalité Santé en français, il faut saisir cette occasion pour sensibiliser la Chambre haute du Canada au fait que les obligations constitutionnelles du gouvernement du Nouveau-Brunswick ne sont pas respectées. Le gouvernement fédéral, comme garant de la Constitution canadienne, a les leviers pour s’assurer que les droits de notre communauté linguistique minoritaire soient respectés, notamment par le biais de son financement en santé.

La présentation d’Égalité Santé devant le Comité sénatorial a eu lieu aujourd’hui,  le 10 avril à 18 heures ( heure de l’Acadie).

2017 04 10 Présentation ÉSF CSPLO

Égalité Santé en français attend toujours une réponse du ministre Boudreau

Dieppe – le 7 avril 2017 – Égalité Santé en français (ÉSF) a fait parvenir une lettre au ministre de la Santé, monsieur Victor Boudreau, le 10 février dernier. Principalement, la lettre demande au ministre Boudreau de justifier ses projets de privatisation de plusieurs services hospitaliers dans le système des soins de santé du Nouveau-Brunswick.

« Nous avons demandé au ministre Boudreau de nous identifier selon quel article de la
Loi sur les régies régionales de la santé pouvait-il imposer la privatisation de services
hospitaliers tel que la gestion du transport des patients, des services d’entretien et des
services alimentaires » a expliqué le Dr Hubert Dupuis, président d’ÉSF. De plus, nous
savons que le ministre Boudreau a l’intention de privatiser le Programme extra-mural de la province. Cela nous préoccupe au plus haut point, a ajouté docteur Dupuis. Ces décisions du gouvernement actuel ont une incidence certaine sur la qualité des services en santé et sont prises sans même tenir compte des lois en place dans la province. Dans la lettre, nous avons donc affirmé notre désaccord au ministre Boudreau face à cette privatisation.

Malgré cela, la réponse du ministre Boudreau tarde à venir.

Qu’il soit d’accord ou non avec notre position, nous attendons une réponse et des explications de sa part ou, du moins, un accusé de réception.
2017 02 10 Lettre à VB re privatisation

Le Conseil d’administration de Vitalité exerce ses pleins pouvoirs

Dieppe, le premier mars 2017 –

Égalité Santé en Français (ÉSF) se réjouit de la décision du Conseil d’administration du réseau Vitalité de réaffirmer son opposition à la privatisation de la gestion des services alimentaires, des services d’environnement et des services de préposés au transport des malades dans les établissements du réseau de santé Vitalité. Le Conseil d’administration a aussi réaffirmé son opposition à la privatisation du programme Extra-Mural.

« Nous avons un Conseil d’administration de Vitalité qui a bien compris qu’il existe pour défendre les intérêts de la communauté acadienne et francophone et surtout qui exerce les pouvoirs qu’il a en vertu de la Loi » affirme Dr Hubert Dupuis, président d’Égalité Santé. Le ministre Victor Boudreau et le sous-ministre, Tom Maston, font de l’ingérence dans la gestion du réseau Vitalité, ajoute Dr Dupuis. Cette ingérence doit cesser.

Le réseau a fait son travail et a démontré chiffres à l’appui que la solution que tentent d’imposer le ministre Boudreau et le sous-ministre Maston, n’est pas la meilleure solution ni économique et encore moins administrative. D’ailleurs, « il faut se demander où est le problème? » se demande le Dr Dupuis.

Le réseau Vitalité n’a jamais affirmé qu’il y avait un problème avec la gestion de ses services hospitaliers. SI le ministre et le sous-ministre ont constaté un problème au niveau de l’autre réseau et que ce réseau est en accord avec la proposition ministérielle qu’ils règlent leur situation d’un mutuel accord mais Vitalité n’en veut pas !

Égalité Santé continuera d’appuyer le réseau de santé Vitalité dans cette lutte pour le respect de ses compétences et de son autonomie. Il est grand temps pour le Premier ministre de faire un remaniement puisque la communauté francophone a perdu confiance dans le ministère de la Santé. Un changement de direction s’impose. La santé doit bénéficier d’un ministre et d’un sous-ministre qui connaissent la réalité de la communauté acadienne et francophone mais, surtout qui reconnaissent les droits inhérents de cette communauté à la pleine et entière gestion et gouvernance de ses institutions de santé, ajoute Dr Dupuis.

Égalité Santé se prononce contre la privatisation de services au sein du réseau Vitalité

Dieppe, le 6 février 2017 -Égalité Santé en Français (ÉSF) est surpris de la note de service envoyée le 27 janvier dernier par le directeur général du réseau Vitalité, Gilles Lanteigne, à tous les employés annonçant le début prochain des négociations qui mèneront à l’entente finale avec le fournisseur pour la gestion des services alimentaires, des services d’environnement et des services de préposés au transport des malades dans les établissements du réseau de santé Vitalité.

ÉSF avait félicité le réseau Vitalité pour sa position de maintenir la gestion des cafétérias et de l’Extra-Mural prise lors de la réunion du Conseil d’administration du 28 juin 2016. Cette décision du Conseil d’administration de Vitalité avait été unanime.

Que s’est-il passé depuis le 28 juin 2016 se demande le Dr Hubert Dupuis, président d’Égalité Santé. « Nous devons nous poser quelques questions fondamentales », ajoute Dr Dupuis. Il faut se demander premièrement si le Conseil d’administration a de réels pouvoirs au niveau de la gouvernance et de la gestion de son réseau de santé. La réponse nous semble évidente : NON

La deuxième question est de se demander si la direction générale travaille vraiment pour le réseau Vitalité et sa communauté linguistique. Comment pourrait-elle faire parvenir cette note de service si elle travaillait pour le réseau Vitalité, note de service contraire à une résolution dûment adoptée par le Conseil d’administration de Vitalité. Il s’agirait alors d’une insubordination du directeur général. Il faut donc conclure que la direction générale actuelle ne travaille pas pour le réseau Vitalité.

La troisième question est encore plus fondamentale, selon Dr Dupuis, « Qui mène ou qui dirige le réseau de santé Vitalité ?» La seule conclusion possible est que le réseau de santé Vitalité est sous la tutelle du ministre de la Santé, Victor Boudreau.

Enfin, « la question qui tue » est la suivante : « Pourquoi les gouvernements libéraux successifs de Frank McKenna, de Shawn Graham et de Brian Gallant tiennent-ils tant à privatiser les services de santé au Nouveau-Brunswick ?» se demande Dr Dupuis.

L’étude de la gestion des cafétérias par le réseau Vitalité avait clairement démontré que la privatisation de ce service n’apportait pas d’économies mais coûterait plus cher que la gestion par le réseau Vitalité. Les sondages effectués par le réseau Vitalité démontrent pourtant que les utilisateurs du réseau sont très satisfaits de la nourriture au sein du réseau !

Quels sont les vrais intérêts des libéraux dans cette privatisation ? Ce n’est certainement pas pour ÉPARGNER le système de santé comme l’avait promis le Premier ministre Gallant le 11 janvier 2016.  Ce n’est clairement pas en détruisant à la pièce les hôpitaux francophones du Nouveau-Brunswick que l’on épargnera le système de santé francophone du Nouveau-Brunswick et ainsi aller à l’encontre des droits de la communauté acadienne et francophone en santé.

Après l’échec d’Ambulance NB, de FacilicorpNB et de Service NB, pourquoi le gouvernement libéral s’entête-t-il à privatiser des services additionnels ? Quelles sont les vraies motivations derrière ces négociations ?

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La Croix Bleue Medavie ne tient pas à respecter les droits constitutionnels des Francophones du Nouveau-Brunswick

La récente déclaration de Pierre-Yves Julien, PDG de la Croix Bleue Medavie démontre à quel point cette entreprise ne comprend pas l’importance de respecter les droits linguistiques et le caractère bilingue de notre province, ce qui est très alarmant. Le 11 avril dernier, M. Julien déclarait « si vous me dites que j’ai plein de temps (…) je vais toujours pouvoir les servir dans leur langage de choix. », ce qui indique clairement l’absence de service bilingue en permanence.

Selon le président d’Égalité Santé en Français (ÉSF), Dr Hubert Dupuis, « nous avons là une preuve tangible de l’échec du gouvernement à s’assurer que ses obligations constitutionnelles soient respectées ». La commissaire Katherine d’Entremont a raison de s’inquiéter du partenariat possible entre la province et Medavie, telle qu’elle l’a exprimé en entrevue à Radio-Canada le 15 février dernier.

Selon le président d’ÉSF, cette déclaration explique aussi qu’Ambulance NB, dont la gestion relève de la Croix Bleue Medavie, ne respecte pas encore les droits linguistiques de nos deux communautés linguistiques.

Il est temps que le gouvernement s’assure que tant les Anglophones que les Francophones aient le droit d’être servi en tout temps, en tout lieu et peu importe l’urgence, dans la langue de leur choix.

« Un droit constitutionnel est une obligation du gouvernement qui n’existe pas en fonction du temps, du lieu ou de l’urgence; c’est une reconnaissance légale », conclue le président d’ÉSF. Cette obligation du gouvernement provincial doit être assurée par la province, même si ce n’est pas toujours le cas, comme l’illustre la situation d’Ambulance NB. « Le Nouveau-Brunswick reste quand même la seule province officiellement bilingue du Canada. Les services de santé devraient toujours pouvoir être offerts dans les deux langues officielles », ajoute le Dr Dupuis.

Une entrevue lucide

 

Égalité Santé en Français (ÉSF) remercie Bruno Godin, ancien directeur général, pour le travail qu’il a effectué au cours de huit dernières au sein de la SANB.

Le 31 mars dernier, sur les ondes de Radio-Canada Acadie, et malgré son congédiement cavalier, Monsieur Godin « a fait une analyse lucide, claire et transparente de la situation que vit la SANB »

affirme le président d’ÉSF, Dr Hubert Dupuis. « Blâmer la structure en place depuis 2008 pour tous les maux que vit actuellement la SANB est se mettre la tête dans le sable » ajoute Dr Dupuis. Il faut comprendre les faits suivants qui sont survenus depuis juin 2015 : 4 employés ont quitté la SANB dont le directeur général qui a été congédié sans motif, 9 membres ont quitté le Conseil d’administration dont trois faisaient partie du Bureau de direction, la majorité des organismes ont décidé de se libérer du joug de la SANB.

La structure n’est que le paravent qui cache le véritable problème actuel de la SANB. L’intégrité de la présidente et son approche « divisive » ainsi que celle du Conseil d’administration sont le véritable problème de la SANB.

« Si la SANB veut survivre à cette crise, elle devra renouveler son Conseil d’administration au complet dans les plus brefs délais » ajoute Dr Dupuis. Dans ce sens, ÉSF appuie l’analyse de monsieur Godin.  Dr Dupuis ajoute « L’Acadie n’a pas les moyens de jouer à l’autruche par les temps qui courent! »

ÉSF remercie monsieur Godin pour son honnêteté, sa franchise, son travail et sa lucidité et lui souhaite les meilleurs succès dans sa nouvelle aventure et ses projets.

Nous souhaitons que l’avenir de l’Acadie passe avant les intérêts personnels.

 

 

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